Le réseau aux 900 millions d’utilisateurs frappe un grand coup avec une innovation des plus attendues. En effet, il est désormais possible de consulter l’interface intégrale de Facebook dans sa langue natale.
Le fonctionnement
Le progrès va plus loin avec la possibilité de rédiger un même post en plusieurs langues. L’objectif est de permettre à chaque abonné de communiquer plus aisément avec tous ses contacts aux 4 coins du monde.
Les premiers tests ont déjà débuté et l’information a été diffusée sur le blog Facebook Code. En effet, la segmentation des publications par langue et/ou par marché est plus simple.
Il faut noter que cette fonctionnalité n’a rien avoir avec la traduction automatique Facebook puisqu’elle permet d’écrire directement la publication dans une autre langue sans passer par la case « traduction ». Désormais, on peut disposer de cette fonction en activant l’option « Publications en multi langue » dans « paramètres linguistiques ».
Les caractéristiques
Le principe de cette fonction est incroyablement simple, mais redoutablement efficace puisqu’il suffit de rédiger le message initial dans sa propre langue et le logiciel s’occupe du reste. La partie « traduction » ne sera pas visible de l’utilisateur. Les messages seront de suite publiés dans la ou les langues souhaitées sachant que cette option est actuellement disponible en 44 langues.
Cette option peut en effet révolutionner entièrement les échanges entre les millions de profils connectés au réseau. Une profonde mutation qui ne se contente pas de faciliter l’utilisation de l’interface, mais qui permettra à des millions de gens de pouvoir communiquer sans craindre la barrière de la langue.
En outre, les utilisateurs pourront proposer des corrections ou des traductions pour améliorer son algorithme sur le long terme. Pour cela, chaque traduction est éditable dans l’interface de rédaction des messages. Cette fonction permet de rassembler sur une seule et même publication toutes les réactions, quelle que soit la langue. Il a un impact direct sur le taux d’engagement