Afin de faire face à la concurrence, la firme nippone cherche à se diversifier. Dernier projet en date, produire des films !
Des films d’animation
C’est dans le journal japonais Asahi Shimbun que le patron de Nintendo Tatsumi Kimishima a dévoilé le nouveau projet de son entreprise. Désormais, il faudra aussi compter sur la société de jeux vidéos et consoles dans l’univers du cinéma. Nintendo serait même d’ores et déjà à la recherche de partenaires afin d’adapter leurs célèbres licences sur grand écran.
La société cherche à séduire un nouveau public, et c’est avec les films qu’elle pourrait bien réussir son pari. Grâce à ces adaptations, elle profiterait d’une publicité d’importante, suffisante pour convaincre de nouveaux joueurs de tenter l’expérience Nintendo.
Dans son interview, Kimishima est revenu sur l’adaptation de Mario et Luigi, un film qui n’avait pas trouvé son public : « ce film en live-action n’a pas vraiment fait de bons résultats au box-office ». Il ajoute qu’un nouveau film ne se fera « peut-être pas cette fois », de quoi titiller l’intérêt des gamers ! D’autant plus que le président s’est montré plus intéressé quand ont été évoqués des films d’animation.
Zelda et Mario sur grand écran ?
Les fans de Zelda avaient déjà retenu leur souffle lorsqu’en 2015, le Wall Street Journal avait annoncé que Netflix planchait sur une série adaptée du jeu vidéo culte. Mais ni la plateforme ni Nintendo n’avaient confirmé l’information, laissant la rumeur s’essouffler. Pourtant, la révélation de Kimishima d’adapter « des licences attendues » relance le projet !
En attendant plus de détails, Nintendo a annoncé il y a quelques jours que 5 jeux seraient disponibles dans le catalogue des jeux Nintedo Selects 3DS dès le 24 juin prochain, au prix de 19,99 € par jeu. Il s’agira de Paper Mario : Sticker Star, Mario & Luigi : Dream Team Bros, LEGO City Undercover, La Maison du Style et enfin The Legend of Zelda : Ocarina of Time 3D.
Enfin en avril dernier la firme confirmait l’arrivée de Fire Emblem et Animal Crossing sur mobile, preuve que l’éditeur japonais suit les tendances