Fragilisées par la crise du coronavirus, nombreuses sont les petites entreprises qui ont fait faillite. Pour les rares d’entre elles qui ont pu tenir bon, le bout du tunnel semble loin, surtout avec l’avènement d’une seconde vague épidémique. Depuis que la crise sévit, force est de constater que c’est le web, notamment à travers la digitalisation des entreprises, qui a le plus tiré profit de la situation, entérinant davantage la faible posture des TPE et PME. Mais est-ce uniquement le web qui a favorisé cet état de choses ?
Quand le web fait concurrence aux TPE et PME
L’impact économique de la crise sanitaire n’est plus à démontrer. Tous les secteurs d’activité ont été impactés négativement, sauf celui du web et de la digitalisation. Au contraire, cela a été le point de départ d’une nouvelle vie pour le domaine du net. Aujourd’hui plus que jamais, les raisons de recourir à des professionnels comme Createur2site.fr sont nombreuses, au regard de la forte concurrence qu’impose le web aux TPE et PME.
En effet, la digitalisation, à travers les sites internet et la numérisation de certains services, a permis à certaines entreprises de se développer considérablement, écrasant de loin les TPE et PME qui n’avaient pas d’alternatives de cette nature. Aujourd’hui encore, les sociétés possédant une plateforme web moderne, efficace et gage d’une expérience utilisateur sans pareil continuent de tirer leur épingle du jeu. Pendant ce temps, les autres ont été contraintes de déposer le bilan.
La pandémie a révélé certaines possibilités, et on s’est vite rendu compte que l’on n’a pas besoin de se déplacer pour effectuer un achat en magasin ou de se rendre physiquement au bureau pour travailler. Les entreprises ont vu en cela de bonnes raisons de se digitaliser.
La forte concurrence du web, mais pas seulement
Une étude de « Réussir avec le web » réalisée en 2019 révèle que 86 % des entreprises ayant fait faillite en 2014 n’avaient pas de site web. C’est dire que depuis cette période jusqu’à l’avènement de la crise sanitaire, les autres auraient dû amorcer un processus de digitalisation. Pour aller plus loin, la même étude révèle que 26 % des PME françaises n’ont pas de site internet et que seulement 84 % d’entre elles sont conscientes de la nécessité d’une présence en ligne pour la croissance de leur activité. Nous pouvons ainsi considérer que les TPE et PME, volontairement ou non, ont permis à la digitalisation d’entériner leur situation pendant cette période de pandémie.
C’est donc logiquement que celles qui s’étaient digitalisées beaucoup plus tôt, ou même au début de la crise, ont su s’en sortir et participer à la création d’une concurrence importante. Si les commerces du web ont fait concurrence aux enseignes physiques, il n’en demeure pas moins que la réticence ou même le refus de certaines PME à se digitaliser a contribué à leur déclin. Pour les TPE et PME qui doutent encore, il est nécessaire d’évoluer et d’avoir recours aux services de professionnels du net pour se mettre à la plage.